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Le notariat : un métier ancestral qui évolue avec son temps

Le notariat aurait déjà existé au IIIème siècle de notre aire au bas empire Romain, avec des fonctionnaires étatiques dont le rôle était d'authentifier des contrats au nom de l’état.
  • En 1539, par l'ordonnance de Villers-Cotterêts, François Ier préfigure ce que sera l'organisation de la profession de notaire : les actes devront être rédigés en français, la conservation devra en être assurée et leur existence devra être consignée dans un répertoire.
  • En 1597, Henri IV fait du notaire le détenteur du Sceau de l'Etat. Un sceau toujours délégué à ce jour.
La Révolution n'a pas remis en cause l'institution notariale. Dans la dernière phase du Consulat, Bonaparte donne au notariat, par la loi du 25 ventôse an XI, un statut dont les fondements et les grands principes n'ont pas été, pour l'essentiel, modifiés depuis.

Aujourd’hui, le cœur du métier demeure identique. Toutefois, le notariat évoluant avec son temps, il s’est énergiquement modernisé en introduisant dans sa pratique un large spectre d'outil numérique.

Aussi, l’étude BELLOCH notaire est dotée des moyens modernes permettant :  
  • la signature électronique de procurations et d'actes sous-seing privé à distance;
  • la signature des actes authentiques en version électroniques à l'Office; 
  • la signature des actes authentiques électroniques à distance (entre deux offices notariaux); 
  • la visioconférence entre deux offices notariaux, ou entre l'Office et toute personne équipée d'un dispositif permettant la visioconférence; 
Ces services sont gratuits, évitent certains déplacements, et permettent une signature simple et rapide des actes. 
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